Histoires aethiennes

Ceci est une histoire, plus une fanfic qu'un RP, sur mon personnage sur SGU, à savoir Rava, et il est loin d'être fini...
Pour information : Aetha est le nom de la planète mère. Les Aethiens en son les habitants. Ils s'appellent aussi bien aethiens qu'élènes, vous le verrez plus tard et vous comprendrez plus tard également.
Bonne lecture, j'espère que ça vous plaira.

Chapitre 1 : Un peuple sans histoires, n'a pas d'Histoire.

Tandis qu'Euxann se levait à peine, carressant de son éclat doré les bâtiments de la grande ville de Zéla, Rava observait depuis le balcon de l'ancien palais royal, la porte des étoiles que son peuple nomme également Thuraster. Elle pensait à l'Histoire de sa planète.

Pendant des siècles, ils avaient été asservis par une famille de Tyran. Non pas de ces Goa'uld légendaires qui se prendraient pour des Dieux, mais des hommes et des femmes qui se prenaient pour des rois et des reines.

" Le premier jour, la Famille installa son pouvoir. Le peuple, alors dans l'erreur et ne comprenant pas que la Famille était du Bien, voulu empêcher celle-ci d'agir. Mais le peuple, chez qui le mal régnait sous la forme du chaos, l'empêchant de s'organiser, ne put faire face à la puissance de la Famille. C'est ainsi que nous connaissons aujourd'hui une ère de paix et d'abondance. " était l'histoire d'Aetha.

Aujourd'hui, nous savons que tout est faux. Nous le savons grâce à L'Ordre du Chaos. Un ordre dont le nom est issu de cette histoire, ironie de celle-ci. Le Chaos désigne le peuple, soi disant guidé par le Mal et l'Ordre évoque l'organisation de celui-ci, ce que cette histoire nie être possible.

Rava avait vécue dans les rues de la pire des cités d'Aetha, Irène, dont le non signifierait "la paix". Elle vivotait ici et là, dans cette ville repère du crime. C'est en tentant de voler
la mauvaise personne qu'elle découvrit, par un hasard étrange, L'Ordre du Chaos.

Après quelques péripéties qui ne sont pas l'objet de cette histoire, Rava fut finalement à la tête d'une des sections d'attaques de L'Ordre. La section peut-être la plus importante de l'Ordre, mais certainement pas la plus sûre ou la plus gérable. Cette section était un mélange hétérogène de fous, de criminels de toutes sortes, d'infirmes ou de vieillard. Seule Rava réussit à en faire quelque chose. Pire que tout, pour les autres chefs de sections, elle en avait fait la meilleure de toutes sections. Ce qui lui donna le devoir s'emparer de la Cité Royale de Zéla.

Après la plus grande bataille de l'histoire d'Aetha, la Section de Rava, qui en chemin depuis Irène avait gagné de nombreux gens du peuple à ses côtés, remporta la victoire. Rava fut nommée Oratrice (du Peuple d'Aetha) : Elle porte la porte la parole de son peuple, elle parle au nom de celui-ci.

Et c'est ainsi que l'on put redécouvrir, dans l'ancien palais royal qui sera bientôt inauguré comme Palais de la Connaissance et de la Parole, la véritable Histoire d'Aetha. Il y avait, au sein même du palais siègeait la tyrannie, un ordinateur.

Les gens de peuples, comme Rava, avaient beaucoup entendu parler de la technologie, mais n'en avait jamais vu de comme celle-ci. Rava avait quelques notions de chimie (pratique pour fuir avec des effets pyrotechniques simples), tout comme elle connaissait les briquets ou l'électricités, mais les roi et reine de la Famille avait pris soin de transformer en légende les ordinateurs. Légendes que l'Ordre, lui, avait pris soin d'entretenir.

L'ordinateur découvert, on mit à jour une immense banque de données. Rava fut alors heureuse de la guerre, d'une certaine manière. Beaucoup de gens étaient morts et s'ils faisaient tous partis de son peuple, un petit peuple par le nombre est plus facile à faire évoluer rapidement. Et, de tous ceux qui étaient morts, la majorité était des royalistes contre le progrès.

Elle passait des heures assise devant l'écran à lire des pages et des pages de l'immense encyclopédie. Puis elle sélectionna des personnes de confiance, de sa section de l'Ordre, et ensemble, ils formèrent un gouvernement. Elle chargea de nombreux groupe d'études de lire des parties différentes de l'encyclopédie afin, en premier lieu, d'augmenter le nombre d'ordinateurs, puis de faire évoluer rapidement la technologie sur Aetha.

Le mot d'ordre de son gouvernement était "Faisons revivre, tous ensemble, les technologies passées transformées en légendes.".

Un bruit de pas tira Rava de ses pensées. Quelqu'un frappa à la porte. C'était Kandae, elle le savait avant même d'ouvrir la porte. Les long cheveux blonds, pas très bien peignés, tombaient avec délicatesse sur les épaules arrondies de la jeune femme. Rava croisa son regard, l'habituel regard fatigué qu'elle voyait sur tous les visages du Palais.
"Oratrice... Il est l'heure. Le peuple vous attends devant les marches."
Rava lui sourit. Elle ne se ferait jamais à son titre. pas plus qu'à ce vouvoiement étrange de la part de Kandae... Elle attrapa sa cape de velour gris clair, élimée depuis déjà longtemps, et la suivit, en direction des marches. Le peuple attendait son second discours depuis longtemps. Il était pour elle d'arrêter de reculer pour mieux sauter.

Les marches. Quel nom petit pour cette endroit si grand. Ce que l'on appellait les marches, sur Aetha, n'avait rien d'un simple escalier. Il s'agissait d'une construction gigantesque. Un escalier circulaire, d'un diamètre d'environ 162m et d'une hauteur de 121m, comptant exactement cent marches. La dernière de celle-ci, faisant un diamètre de 1,62m et c'est depuis celle-ci que les nobles s'adressait au peuple. Autant vous le dire, elle avait été construite pour donner de l'espoir au peuple mais n'avait été utilisée par la Famille qu'une seule fois : pour son inauguration. Pour Rava, c'était la deuxième fois qu'elle y montait. Tous les habitants de Zéla et des petites villes proches, s'était réunie autour des marches. Dans les autres villes, on verrait Rava et les marches appraîtres holographiquements (ce que la Famille faisait paraître pour de la magie).

Une petite allée avait été dégagé entre le palais et les marches. Rava n'avait pas fait tombé sa capuche sur sa tête, comme elle en avait l'habitude, et n'était précédé que de Kandae. Un homme à l'allure massive les suivaient. Kandae ce posta à droite de l'allée, près des escaliers et Rava commença à monter. L'homme ce plaça à gauche de l'allée, près de l'escalier. Rava montait les marches avec une sérénité grandissante. Elle arriva sur la dernière marche, la stèle, et regarda tout autour d'elle, une partie de son peuple. Le silence régnait sur la foule.

" Peuple d'Aetha qui me voyez et m'entendez, je suis honorée de vous parlez.
Je suis votre Oratrice, à votre service.

Comme vous le savez, depuis notre victoire, nous avons découvert bon nombre de choses que nous avait caché la Famille. La première étant un ordinateur, technologie que la Famille avait essayé de faire oublier. Aujourd'hui, nous nous développons. Nos scientifiques apprennent les nouvelles technologies et forment de nouveaux apprentis. Nous seront à présent un peuple unis et soudé.

Vous et moi connaissons Thuraster et les légendes qui l'entour. Ces légendes sont vraies, tout autant que les autres l'étaient. Thuraster est bien la porte qui a mené nos ancêtres jusqu'ici. Je ne vous apprends rien : nous avons ouvert la porte il y a quelques jours. Nous avons découverts une planète, vierge de toute humanité ou autre peuple intelligent que nous pourrions géner, et l'avons coloniser. Alpha prospère et chaque jour, nous envoie des nouvelles.

Vous savez tout le progrès que chaque nous faisons technologiquement. Nous rebâtissons nos villes en ruines, construisons ateliers, académies, casernes et mines. Merci aux bâtisseurs et aux mineurs, vous êtes le sol sur lequel nous marchons tous!

Nous avons pourtant une nouvelle à vous annoncer aujourd'hui. Une nouvelle importante. Si nous avons réussi à nous libérer de l'ennemi qui était des notres, sachez qu'il y en a d'autres dehors. Je ne vous le cacherais pas. Aussi, en parcourant la banque de donnée de l'ordinateur, nous avons trouvé des listes d'Alliance inter-planètairess. Nous en avons contacté une dont les idéaux sont les notres : la liberté, pour tous les peuples. Elle nous à répondue favorablement il n'y a que quelques heures. J'ai donc la joie de vous anoncer que nous ne somme pas seuls, Peuple d'Aetha, à nous battre pour la liberté! "

Il n'y eut pas un murmur, pas un bruit. Puis, tous ensembles, les gens autour des marches crièrent d'une seule et même voix : "Au nom d'Aetha, battons-nous pour la liberté."